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L’agriculture africaine a besoin de plus d’investissement pour améliorer sa productivité.
Fermes du futur Mali
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CGIAR Research Program on Climate Change, Agriculture and Food Security (CCAFS)380 videos
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L’agriculture africaine a besoin de plus d’investissement pour améliorer sa productivité.
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Jardin Communautaire à Toubacouta (Sud du Sénégal)
Projet de la Fondation TC-Dialogue (Belgique) avec application du conditionneur de sol TerraCottem
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Crédit Photo: Good Planet Info
Photo de l’ONG Oxfam le 10 novembre 2013 à Varsovie de manifestants portant des masques d’Angela Merkel, Barack Obama, François Hollande et Shinzo Abe, dans le cadre d’une campagne pour dénoncer l’impact du changement climatique sur l’agriculture
© OXFAM/AFP/Archives Al Kinley
EXCERPT
L’accélération du réchauffement climatique fait peser de fortes incertitudes sur la production agricole mondiale dans les prochaines décennies, ont averti dimanche des scientifiques, certains jugeant inévitables de profonds changements de la société pour y faire face.
« Nous pourrons nourrir le monde en 2050 mais pour cela il faudra prendre des mesures pour minimiser les effets du changement climatique sur la production agricole », a estimé Jerry Hatfield, directeur du laboratoire national américain pour l’agriculture et l’environnement.
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Par Challenges.fr
Selon plusieurs scientifiques, l’accélération du réchauffement climatique fait peser de fortes incertitudes sur la production agricole mondiale dans les prochaines décennies.
L’accélération du réchauffement climatique fait peser de fortes incertitudes sur la production agricole mondiale dans les prochaines décennies, ont averti dimanche des scientifiques, certains jugeant inévitables de profonds changements de la société pour y faire face.
« Nous pourrons nourrir le monde en 2050 mais pour cela il faudra prendre des mesures pour minimiser les effets du changement climatique sur la production agricole », a estimé Jerry Hatfield, directeur du laboratoire national américain pour l’agriculture et l’environnement.
Il a expliqué lors d’une présentation à la conférence de l’American Society for the Advancement of Science (AAAS), réunie à San Jose en Californie, qu’il faudra doubler la production alimentaire dans les 35 prochaines années pour nourrir les neuf milliards de personnes que comptera la planète en 2050 contre sept milliards aujourd’hui. Ce sera l’équivalent de ce que l’agriculture mondiale a produit depuis cinq siècles.
« Mais l’extrême volatilité des précipitations dans les grandes plaines de cultures américaines par exemple, l’accroissement de la sécheresse couplée à une montée des températures, affecte les rendements agricoles, ce qui nécessite d’agir pour minimiser le réchauffement », a-t-il insisté.
Au niveau mondial, la capacité actuelle d’utilisation des terres et la productivité vont continuer à dégrader les sols, a-t-il ajouté.
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Par Sandra BESSON
Le réchauffement climatique pourrait causer une chute de 18% de la production mondiale de nourriture d’ici 2050, mais les investissements dans les systèmes d’irrigation et d’infrastructures, et le déplacement de la production alimentaire dans différentes régions, pourraient réduire cette perte, d’après une étude publiée jeudi.
Au niveau mondial, les systèmes d’irrigation devraient être étendus de plus de 25% pour gérer les modèles changeants de précipitations, d’après ce qu’indique l’étude publiée dans le journal Environmental Research Letters.
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Agriculture familiale au Nord du Mali
PAM (Rome)
EXTRAIT
Bien que le Mali se remette progressivement de la crise, 1.9 million de maliens ont toujours du mal à se nourrir et à subvenir aux besoins de leurs familles. En 2015, le PAM prévoit donc de soutenir 1.2 million de personnes au Mali
Le PAM aide à améliorer la sécurité alimentaire au Mali en soutenant les agriculteurs locaux. En 2014, le PAM a acheté l’équivalent de 5.6 millions de dollars de nourriture à des petits exploitants maliens.
Un tiers des enfants maliens de moins de 2 ans souffre de malnutrition chronique. En 2015, le PAM aidera à lutter contre la malnutrition infantile et à améliorer l’accès des enfants à l’éducation, en distribuant des repas scolaires à 226.000 enfants maliens.
Au Mali, 4 enfants sur 5 et plus d’1 femme sur 2 est anémique. En fournissant des aliments adaptés aux femmes enceintes, aux jeunes mères et aux enfants, le PAM travaille à réduire la malnutrition et à interrompre le cycle intergénérationnel de la faim.
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La région de la Kara
EXTRAIT
Pres de 2000 plus vulnérables ménages des préfectures de Bassar et Dankpen dans la région de la Kara qui ont été profondément affectés par la sécheresse au cours de la campagne agricole de 2013-2014, ont bénéficié d’une assistance d’urgence pour renforcer leurs moyens d’existence et relancer leurs activités productrices de ménage, a appris l’agence de presse Afreepress.
« Le problème qui s’est posé est un dégât suite la sécheresse qui a détruit près de 40.800 hectares. Il y avait plusieurs personnes qui étaient affectées mais le projet d’urgence a ciblé les plus vulnérables. Aujourd’hui, on peut estimer que cet investissement et cet accompagnement a permis à l’ensemble des bénéficiaires d’emblaver treize (13) hectares de maréchage », a déclaré le chargé de programme à la FAO , Oyétoudé DOUA.
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Région vulnérable en matière de sécurité alimentaire
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Jardin Communautaire des Femmes à Niou
(Prov. du Kourweogo, Burkina Faso)
Par Nancy France Loutoumba
Les cultures horticoles (fruits, légumes, racines et tubercules) constituent une partie essentielle du régime alimentaire des populations dans les pays d’Afrique centrale. Elles contribuent ainsi à la sécurité alimentaire et à la nutrition.
La FAO (Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) entrevoie une organisation à mettre en place autour de ces cultures dans les six pays d’Afrique centrale, dont la République du Congo.
Le secteur agricole représente à la fois des opportunités et des défis. Il contribue dans ces six pays (Cameroun, Gabon, Guinée Equatoriale, Sao Tomé et Principe, Tchad et Congo) à 17,5% du produit intérieur brut (PIB). Il est aussi une source de revenus et d’emplois pour la majorité de la population. L’agriculture de subsistance est la pratique et la plus courante. Cependant, résidant de nombreux obstacles pour réduire la dépendance des importations alimentaires.
La pratique de l’horticulture est très répandue en dépit, de la faible quantité de fruits et légumes consommée par les populations, qui est estimée à moins de 400 grammes par personne et par jour.
La FAO a identifié quelques facteurs inhérents qui freinent l’augmentation de la consommation de fruits et légumes. Il est cité : l’absence de politiques et stratégie de développement du secteur ; la difficulté d’accès et l’insuffisance de la disponibilité. En termes d’accès, il est relevé celui relatif aux intrants et aux semences de qualité et de variétés améliorées.
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Paysage déboisé à la partie centrale de Madagascar du Sud
Par RFI
Alors que toute la partie centrale et le nord de Madagascar sont sous la pluie et sous la menace de nouvelles inondations, le sud de l’île subit au contraire une sècheresse inhabituellement grave depuis le mois de novembre. Les autorités font état de 103 morts à cause de ces conditions climatiques et même si on ne parle pas encore de famine, un dispositif d’aide d’urgence est lancé.
Les régions de l’Androy et l’Anosy sont les plus affectées par la sècheresse selon Ludovic Lomotsy, secrétaire exécutif du BNGRC, le Bureau national de gestion des risques climatiques : « On a une très faible pluviométrie et si jamais d’ici la fin du mois de février, on n’a pas encore cette pluie-là, ça risque de compliquer la situation de sécheresse dans le sud de Madagascar. »
Les champs restent désespérément secs. Même si les marchés sont encore achalandés, le prix de certaines denrées a été multiplié par cinq. « Tous les produits de première nécessité se raréfient, avec notamment l’augmentation du prix du bidon d’eau, explique encore Ludovic Lomotsy. Et parallèlement à cela, les paysans sont obligés de brader leur cheptel pour leur survie. »
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Voir aussi: Seychelles News Agency
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