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L’agriculture africaine a besoin de plus d’investissement pour améliorer sa productivité.
Fermes du futur Mali
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CGIAR Research Program on Climate Change, Agriculture and Food Security (CCAFS)380 videos
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L’agriculture africaine a besoin de plus d’investissement pour améliorer sa productivité.
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Par Challenges.fr
Selon plusieurs scientifiques, l’accélération du réchauffement climatique fait peser de fortes incertitudes sur la production agricole mondiale dans les prochaines décennies.
L’accélération du réchauffement climatique fait peser de fortes incertitudes sur la production agricole mondiale dans les prochaines décennies, ont averti dimanche des scientifiques, certains jugeant inévitables de profonds changements de la société pour y faire face.
« Nous pourrons nourrir le monde en 2050 mais pour cela il faudra prendre des mesures pour minimiser les effets du changement climatique sur la production agricole », a estimé Jerry Hatfield, directeur du laboratoire national américain pour l’agriculture et l’environnement.
Il a expliqué lors d’une présentation à la conférence de l’American Society for the Advancement of Science (AAAS), réunie à San Jose en Californie, qu’il faudra doubler la production alimentaire dans les 35 prochaines années pour nourrir les neuf milliards de personnes que comptera la planète en 2050 contre sept milliards aujourd’hui. Ce sera l’équivalent de ce que l’agriculture mondiale a produit depuis cinq siècles.
« Mais l’extrême volatilité des précipitations dans les grandes plaines de cultures américaines par exemple, l’accroissement de la sécheresse couplée à une montée des températures, affecte les rendements agricoles, ce qui nécessite d’agir pour minimiser le réchauffement », a-t-il insisté.
Au niveau mondial, la capacité actuelle d’utilisation des terres et la productivité vont continuer à dégrader les sols, a-t-il ajouté.
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Par Sandra BESSON
Plus de 40% des terres arables de la Chine souffrent de dégradation, d’après l’agence de presse Xinhua, réduisant sa capacité à produire de la nourriture pour la population la plus importante au monde.
Le sol noir riche de la province de Heilongjiang au nord du pays, qui fait partie du bassin agricole de la Chine, s’amincit de plus en plus, tandis que le sud du pays souffre d’acidification, d’après le rapport, qui fait référence aux statistiques du ministère de l’agriculture.
Les terres dégradées comprennent généralement le sol souffrant d’une fertilité réduite, de l’érosion, des changements d’acidité, et des effets du changement climatique ainsi que des dommages faits par les polluants.
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Par Sandra BESSON
Le réchauffement climatique pourrait causer une chute de 18% de la production mondiale de nourriture d’ici 2050, mais les investissements dans les systèmes d’irrigation et d’infrastructures, et le déplacement de la production alimentaire dans différentes régions, pourraient réduire cette perte, d’après une étude publiée jeudi.
Au niveau mondial, les systèmes d’irrigation devraient être étendus de plus de 25% pour gérer les modèles changeants de précipitations, d’après ce qu’indique l’étude publiée dans le journal Environmental Research Letters.
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CNULCD-COP 11
La nouvelle interface entre Science et Politique (Science-Policiy Interface, SPI) de la convention sur la désertification (CNULCD) va lancer ses travaux dès la fin juin et sa composition vient d’être annoncée. Martial Bernoux, chercheur de l’IRD et membre de notre comité a été nommé comme représentant du groupe des États d’Europe occidentale et autres (WEOG en anglais, selon la terminologie des Nations Unies), aux côtés 19 autres collègues d’Argentine, d’Afrique du Sud, d’Allemagne en particulier, avec lesquels notre comité a déjà de nombreuses collaborations, à travers l’association DesertNet International.
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La dégradation des terres affecte de manière directe le patrimoine mondial
La troisième conférence scientifique internationale de la Convention des Nations Unies de Lutte contre la Désertification (CNULCD), sur le thème « combattre la désertification, la dégradation des terres et la sécheresse pour le développement durable et la réduction de la pauvreté : contribution de la science et de la technologie, des connaissances et pratiques traditionnelles », aura lieu du 9 au 12 mars 2015 au Mexique.
La conférence vise à rassembler une vaste assemblée de porteurs de connaissances scientifiques, traditionnelles et locales, qui peuvent être mobilisées pour favoriser le développement durable et la réduction de la pauvreté dans les régions touchées par la désertification, la dégradation des terres et la sécheresse.
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 28 février 2015.
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Terrain boulversé par le surpâturage et la destruction de la forêt, Vietnam
PUBLIÉ LE : 11 SEPTEMBRE 2014
« Les indicateurs d’impact des projets de gestion durable des terres, de lutte contre la dégradation des terres et la désertification » sont le thème d’un des derniers « Documents de travail » publiés par l’Agence Française de Développement (AFD)
C’est une contribution pragmatique à la recherche de bons indicateurs pour évaluer les impacts à long terme des actions de développement. L’étude couvre ici les actions de gestion durable des terres, de restauration et de réhabilitation des milieux dégradés, de prévention de la dégradation des terres. Elle s’intéresse plus particulièrement aux régions sèches, arides, semi-arides et subhumides (lutte contre la désertification).
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La région de la Kara
EXTRAIT
Pres de 2000 plus vulnérables ménages des préfectures de Bassar et Dankpen dans la région de la Kara qui ont été profondément affectés par la sécheresse au cours de la campagne agricole de 2013-2014, ont bénéficié d’une assistance d’urgence pour renforcer leurs moyens d’existence et relancer leurs activités productrices de ménage, a appris l’agence de presse Afreepress.
« Le problème qui s’est posé est un dégât suite la sécheresse qui a détruit près de 40.800 hectares. Il y avait plusieurs personnes qui étaient affectées mais le projet d’urgence a ciblé les plus vulnérables. Aujourd’hui, on peut estimer que cet investissement et cet accompagnement a permis à l’ensemble des bénéficiaires d’emblaver treize (13) hectares de maréchage », a déclaré le chargé de programme à la FAO , Oyétoudé DOUA.
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Brésil: inquiétante sécheresse
PAR LOUIS VERCHOT
Le rôle de la déforestation tropicale dans le changement climatique mondial a fait l’objet de beaucoup de discussions et de débats internationaux dans les médias, ainsi que lors des forums politiques tels que la Convention des Nations Unies sur le Changement Climatique. Cependant, le rôle de la déforestation dans le changement des climats locaux a reçu beaucoup moins d’attention.
Actuellement, face à la sécheresse sans précédent dont souffre le sud du Brésil, l’attention se tourne vers les impacts à une échelle plus locale de la déforestation. Dr Antonio Nobre, chercheur à l’Institut Brésilien de Recherche Spatiale, a publié un rapport intitulé «Le climat futur de l’Amazonie» qui lie la sécheresse actuelle à la déforestation dans le bassin de l’Amazone. Les politiques s’interrogent sur ces conclusions. Que dit la science?
RELATION ENTRE LES ARBRES ET LES PRÉCIPITATIONS?
En 2009, les chercheurs du CIFOR, Douglas Sheil et Daniel Murdiyarso, ont résumé la compréhension scientifique de la relation entre les forêts et les précipitations dans un article publié dans BioScience. À l’époque, le lien entre la déforestation et la diminution des précipitations était encore inconnu. Il existait certaines indications dans la littérature scientifique, selon lesquelles le déboisement perturberait la formation des nuages et accentuerait la saisonnalité des précipitations dans les zones ayant des saisons sèches et humides distinctes.
Les preuves s’accumulaient pour montrer qu’une quantité importante des pluies tombant à l’intérieur des continents est recyclée – ce qui signifie que l’eau, qui est tombée auparavant près des marges continentales, est pompée dans l’atmosphère par la végétation et retombe de nouveau.
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© afp.
La mégalopole pakistanaise Karachi est protégée des tempêtes tropicales par une barrière naturelle, la mangrove. Mais la pollution, l’irrigation à grande échelle et les coupes illégales au cours du dernier siècle ont décimé cette forêt marine au grand dam des pêcheurs qui y trouvent crevettes et poissons.
EXCERPT
Gare aux tsunamis
Le sud du Pakistan et la métropole Karachi sont situés au carrefour des plaques tectoniques indienne, africaine et arabique, une activité sismique à l’origine de nombreux tremblements de terre et parfois même de tsunamis.
« Cette zone a été touchée par un énorme tsunami en 1945, et cela peut bien sûr se reproduire… L’an dernier nous avons eu un tremblement de terre, enfin deux, et si un séisme a son épicentre dans la mer, cela peut provoquer un tsunami. Et si un tsunami nous touche, la zone qui en souffrira le plus sera le delta de l’Indus », explique Muhammad Moazzam Khan, du Fonds mondial pour la nature (WWF-Pakistan).
D’où l’importance de protéger la mangrove pour tenter de minimiser les dégâts d’une éventuelle catastrophe naturelle. Après des décennies de déclin, les défenseurs de l’environnement tentent aujourd’hui d’inverser la tendance en replantant la mangrove sur la côte près de Karachi. Doucement, très doucement, de façon éparse, la mangrove commence à repousser mais n’atteindra probablement jamais sa splendeur d’antan, à l’époque où Karachi était un paisible port colonial à des lieues de la mégalopole grouillante, polluée et fascinante qu’elle est aujourd’hui devenue.
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