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L’agriculture africaine a besoin de plus d’investissement pour améliorer sa productivité.
Fermes du futur Mali
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CGIAR Research Program on Climate Change, Agriculture and Food Security (CCAFS)380 videos
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L’agriculture africaine a besoin de plus d’investissement pour améliorer sa productivité.
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Par Challenges.fr
Selon plusieurs scientifiques, l’accélération du réchauffement climatique fait peser de fortes incertitudes sur la production agricole mondiale dans les prochaines décennies.
L’accélération du réchauffement climatique fait peser de fortes incertitudes sur la production agricole mondiale dans les prochaines décennies, ont averti dimanche des scientifiques, certains jugeant inévitables de profonds changements de la société pour y faire face.
« Nous pourrons nourrir le monde en 2050 mais pour cela il faudra prendre des mesures pour minimiser les effets du changement climatique sur la production agricole », a estimé Jerry Hatfield, directeur du laboratoire national américain pour l’agriculture et l’environnement.
Il a expliqué lors d’une présentation à la conférence de l’American Society for the Advancement of Science (AAAS), réunie à San Jose en Californie, qu’il faudra doubler la production alimentaire dans les 35 prochaines années pour nourrir les neuf milliards de personnes que comptera la planète en 2050 contre sept milliards aujourd’hui. Ce sera l’équivalent de ce que l’agriculture mondiale a produit depuis cinq siècles.
« Mais l’extrême volatilité des précipitations dans les grandes plaines de cultures américaines par exemple, l’accroissement de la sécheresse couplée à une montée des températures, affecte les rendements agricoles, ce qui nécessite d’agir pour minimiser le réchauffement », a-t-il insisté.
Au niveau mondial, la capacité actuelle d’utilisation des terres et la productivité vont continuer à dégrader les sols, a-t-il ajouté.
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La dégradation des terres affecte de manière directe le patrimoine mondial
La troisième conférence scientifique internationale de la Convention des Nations Unies de Lutte contre la Désertification (CNULCD), sur le thème « combattre la désertification, la dégradation des terres et la sécheresse pour le développement durable et la réduction de la pauvreté : contribution de la science et de la technologie, des connaissances et pratiques traditionnelles », aura lieu du 9 au 12 mars 2015 au Mexique.
La conférence vise à rassembler une vaste assemblée de porteurs de connaissances scientifiques, traditionnelles et locales, qui peuvent être mobilisées pour favoriser le développement durable et la réduction de la pauvreté dans les régions touchées par la désertification, la dégradation des terres et la sécheresse.
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 28 février 2015.
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Agriculture familiale au Nord du Mali
PAM (Rome)
EXTRAIT
Bien que le Mali se remette progressivement de la crise, 1.9 million de maliens ont toujours du mal à se nourrir et à subvenir aux besoins de leurs familles. En 2015, le PAM prévoit donc de soutenir 1.2 million de personnes au Mali
Le PAM aide à améliorer la sécurité alimentaire au Mali en soutenant les agriculteurs locaux. En 2014, le PAM a acheté l’équivalent de 5.6 millions de dollars de nourriture à des petits exploitants maliens.
Un tiers des enfants maliens de moins de 2 ans souffre de malnutrition chronique. En 2015, le PAM aidera à lutter contre la malnutrition infantile et à améliorer l’accès des enfants à l’éducation, en distribuant des repas scolaires à 226.000 enfants maliens.
Au Mali, 4 enfants sur 5 et plus d’1 femme sur 2 est anémique. En fournissant des aliments adaptés aux femmes enceintes, aux jeunes mères et aux enfants, le PAM travaille à réduire la malnutrition et à interrompre le cycle intergénérationnel de la faim.
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La région de la Kara
EXTRAIT
Pres de 2000 plus vulnérables ménages des préfectures de Bassar et Dankpen dans la région de la Kara qui ont été profondément affectés par la sécheresse au cours de la campagne agricole de 2013-2014, ont bénéficié d’une assistance d’urgence pour renforcer leurs moyens d’existence et relancer leurs activités productrices de ménage, a appris l’agence de presse Afreepress.
« Le problème qui s’est posé est un dégât suite la sécheresse qui a détruit près de 40.800 hectares. Il y avait plusieurs personnes qui étaient affectées mais le projet d’urgence a ciblé les plus vulnérables. Aujourd’hui, on peut estimer que cet investissement et cet accompagnement a permis à l’ensemble des bénéficiaires d’emblaver treize (13) hectares de maréchage », a déclaré le chargé de programme à la FAO , Oyétoudé DOUA.
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Région vulnérable en matière de sécurité alimentaire
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Camp de réfugiés à Dabaab
La Corne de l’Afrique -Ethiopie, Somalie, Kenya et Djibouti- est frappée par la pire sécheresse depuis 60 ans. La catastrophe humanitaire pourrait faire 11 millions de victimes. Le fléau de la malnutrition gagne les habitants de la région mais surtout le sud de la Somalie, décrété en état de famine par l’ONU. Tous les jours des milliers de Somaliens quittent le pays à la recherche de nourriture et d’eau. Il rejoignent des camps de fortune en Ethiopie voisine.
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Sécheresse au Rio Jacarei (S.E. Brésil)
L’armée est requise pour venir en aide aux populations pour convoyer des vivres, des médicaments et de l’eau. Il faut enrayer les conséquences d’une sécheresse qui s’éternise dans les régions les plus reculées du Brésil… »La préoccupation majeure est l’apparition de maladies hydriques.
EXCERPT
« La préoccupation majeure est l’apparition de maladies telles que la diarrhée, l’hépatite, la typhoïde et le choléra ainsi que l’impact de la sécheresse sur la faune aquatique de la région », a souligné M. Correa.
Les communes les plus touchées et isolées du reste du pays sont toutes situées au bord des fleuves Solimoes, Purus, Jurua et Madeira et de leurs affluents.
Dans cette région où le transport s’effectue généralement par voie fluviale, l’accès à cinq communes, Caapiranga, Manaquiri, Atalaia do Norte, Humaita et Anorie, n’est plus possible que par hélicoptère car les gros bateaux ne passent plus sur les fleuves. Anorie est située à 195 km de Manaus et Atalaia do Norte à 1.138 km.
La situation à Manaus, la capitale de l’Etat, n’est pas alarmante car il pleut de temps en temps, mais des mesures préventives ont été prises en attendant la fin de la saison sèche en novembre.
source AFP
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Ask Africa now: What Women Want for Africa Beyond 2015
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Par Makhtar Diop
Depuis bien trop longtemps, les femmes et les jeunes filles en Afrique font l’objet de discriminations, phénomène qui affecte leur famille, leur communauté et leur pays tout entier. Alors que nous célébrons «l’année de l’émancipation économique des femmes en Afrique » (thème choisi par l’Union Africaine pour 2015), il est illusoire de penser que sans oeuvrer pour l’égalité homme-femme, nous parviendrons à réduire la pauvreté.
Alors que la plupart des gouvernements africains reconnaissent l’émancipation des femmes comme un facteur essentiel de développement économique, la transition démographique sur le continent a été cependant plus lente que dans d’autres régions du monde. Or, on sait que l’accès des jeunes femmes aux services de planification familiale et de santé maternelle ainsi qu’à l’éducation crée des opportunités économiques.
Certains pays africains ont d’ailleurs mis en place des initiatives innovantes pour accélérer cette transition démographique. Au Niger, pays dont le taux de fertilité est l’un des plus élevés de la planète (7,6 enfants par femme), « les écoles des maris », espaces de dialogue et de réflexion animés par des chefs traditionnels, respectés par leur communauté, visent par exemple à sensibiliser les hommes à l’importance du planning familial et de la santé maternelle.
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(Agence Ecofin) – En Afrique du Sud, la sécheresse peut faire perdre environ 81 millions de dollars à l’industrie sucrière. En effet, la récolte pourrait être en baisse de 60% par rapport aux prévisions initiales en raison des conditions météorologiques prévalant actuellement au KwaZulu-Natal.
«Avec peu de chances d’avoir des précipitations au-dessus de la normale à six semaines de la fin de la saison des pluies, le secteur agricole se prépare à une catastrophe.», a déclaré Mike Black qui préside l’union agricole de la province. Le gouvernement a déjà identifié des zones sinistrées dans neuf districts sur les 11 que compte le KwaZulu-Natal.
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